PREFACE


au


RELEVE DES HABITANTS D'OTHIS ENTRE 1600 et 1873



fait à partir des registres paroissiaux pour la période de 1600 à 1792,

d'après l'Etat Civil pour la période allant de 1792 à 1873.








1. Remarques générales sur les archives paroissiales

1.1. bref historique des registres

1.2. Par étapes, les registres s'étoffent :

1.3. Les diverses écritures et leur lisibilité

1.4. Les noms patronymiques : leur origine, leur explication

1.5. Quelle fiabilité accorder aux registres paroissiaux ?


2. Observations particulières sur les archives d'Othis

2.1. Généralités

2.2. Les différents curés qui se sont succédés à la cure de Notre Dame d'Othis

2.3. Les seigneurs d'Othis

2.4. Le contenu des registres d'Othis

2.4.1. Les années déclarées manquantes

2.5. Les remaniements et annotations


3. La fiabilité d'un dépouillement d'archives paroissiales

3.1. Généralités

3.2. fiabilité du relevé des actes d'Othis


4. Méthodes

4.1. Méthodologies générales pour les dépouillements des BMS

(Baptèmes Mariages et Sépultures)

4.2. Comment a été fait le dépouillement des registres paroissiaux et

d'Etat Civil d'Othis ?


  1. Bibliographie et autres références



1. Remarques générales sur les archives paroissiales


1.1. bref historique des registres


L'existence des registres paroissiaux est fort ancienne ; le plus ancien dont on ait pu retrouver la trace, remonte à 1334. Ces registres n'avaient alors d'autre but que d'éviter les mariages consanguins, et, le parchemin étant fort coûteux, les informations trop anciennes étaient effacées par grattage pour permettre la réutilisation du support. Il va sans dire que ces documents, par trop fragmentaires, ne présentent guère d'intérêt pour les recherches généalogiques.


C'est en août 1539 qu'une ordonnance de François Ier officialisa les registres paroissiaux, les rendit obligatoire et en règlementa la tenue : ils devaient, notamment, être rédigés en français, au lieu du latin précédemment utilisé. Cette ordonnance officialise également les patronymes héréditaires, déjà en usage depuis fort longtemps dans la plupart des régions.


Il faut bien comprendre qu'en ce début du XVI ième siècle, l'ordonnance de François Ier ne pouvait avoir un effet immédiat dans toute l'étendue du Royaume de France. Si les nouvelles directives furent sans doute appliquées assez rapidement dans les paroisses où la tradition des registres existait déjà auparavant, il est permis de supposer qu'en de nombreuses localités les choses ne se firent qu'avec une ou plusieurs décennies de retard. Toujours est il que, s'il est bien vrai que l'on a pu retrouver un certain nombre de registres datant de la première moitié du seizième siècle, voire plus anciens, la continuité des informations fait alors fréquemment défaut : par exemple, le document concernera quelques mois de l'année 1525, puis l'on aura un trou de 15 ans, puis à nouveau une couverture de quelques mois, suivie d'un second trou de 25 ans... Dans la plupart des cas, il est vain d'espérer trouver des documents suivis avant 1600, exceptionnellement 1570... encore que, nombreuses sont les paroisses dans lesquelles on ne retrouve rien qui soit antérieur à 1670 ou environ. Entre 1600 et 1680, là où les documents existent, les "trous" sont encore fréquents, ceux-ci pouvant être dus à de multiples causes : oublis et négligences des officiants, documents perdus, volés ou endommagés, ayant mal vieilli, détruits par le feu, etc...


1.2. Par étapes, les registres s'étoffent :


Là où les registres sont disponibles et se suivent sans interruptions, il convient encore de considérer la nature des informations qu'ils contiennent, ainsi que leur fiabilité. Après l'ordonnance de Villers Cotteret (1539), des édits royaux sont venus, les uns après les autres, règlementer davantage la tenue des registres. Sans entrer dans les détails, en avril 1667 (ordonnance de Saint Germain en Laye), Louis XIV rendit obligatoire la tenue des documents en deux exemplaires, l'un devant être remis au représentant du pouvoir temporel (le bailli ou sénéchal) l'autre étant conservé dans la paroisse. Vers 1685, il devint obligatoire de demander aux témoins de signer, quitte à écrire, le cas échéant : "les témoins ont signé avec nous, fors la mère de la mariée qui a déclaré ne le sçavoir de ce par nous enquis selon l'ordonnance". A la même époque, il devint obligatoire de préciser la filiation des mariés. Deux autres ordonnances, l'une de 1736 et l'autre de 1746, vinrent encore renforcer et complèter ces dispositions.


L'on ne s'étonnera donc pas de constater que la majorité des actes de mariages ne sont pas "filiatifs" avant le milieu du XVII ième siècle.


1.3. Les diverses écritures et leur lisibilité


Il y eut, au cours des âges, plusieurs "modes" pour le tracé des lettres. A certaines époques, l'on a privilégié la beauté de la calligraphie, à sa lisibilité. A l'époque de la cherté des supports, l'on s'est efforçé de concentrer le maximum de caractères sur le moins d'espace possible, d'où l'apparition d'abréviations, accents et signes divers dont certains ont aujourd'hui disparu.


Peu avant 1600, l'on s'est efforcé d'uniformiser l'écriture... Mais, là encore, les choses ne se firent pas en un jour. C'est ainsi qu'il est possible de trouver des manuscrits de 1590 qui soient parfaitement lisibles par tout un chacun, alors que d'autres, de 1650 ou même plus récents encore, paraissent indéchiffrables, sauf aux paléographes expérimentés.


1.4. Les noms patronymiques : leur origine, leur explication


Il ne s'agit pas ici de donner un cours d'onomastique, mais, plus simplement, de fournir une notion de base au débutant. Avant le XI ième siècle, les patronymes n'existaient pas ; les gens ne possèdaient qu'un prénom. On distinguait les homonymes de la façon suivante : Jacques fils de Jean, ou Jacques fils d'Antoine. Il en allait alors de même dans les autres langues européennes, ainsi que chez les juifs et chez les arabes : James Johnson ne veut pas dire autre chose que Jacques fils de Jean ; il en va de même avec les "Serguéiévitch" (fils de Serge) ou "Hansen" (fils de Hans), etc... Là où la population était devenue trop dense pour que ce système suffise à éviter les confusions, la coûtume des "surnoms" s'implanta progressivement. Ceci se généralisa peu à peu, les régions les moins peuplées l'appliquant plus tardivement. Ce n'est que plus tard, généralement entre le XII ième et le XIII ième siècle, que l'usage se répandit de perpétrer les surnoms de façon héréditaire. Encore convient il de considérer que l'orthographe des dits surnoms, devenus patronymes par l'usage, n'avait guère d'importance, et ce, d'autant que, au moins jusqu'au début du XVII ième siècle, la grande majorité des gens du commun étaient illettrés. Les curés, narrateurs des actes, transcrivaient alors dans leurs registres les patronymes tels qu'ils les percevaient à l'audition.... et, bien souvent, lorsque le curé changeait, l'orthographe du patronyme était interprété différemment par son successeur.



1.5. Quelle fiabilité accorder aux registres paroissiaux ?


Pour chaque paroisse, et pour la durée du ministère de chaque officiant, il convient d'apprécier le degré de fiabilité des documents qui sont parvenus jusqu'à nous. Il est évident que, à mesure que l'on remonte dans le temps, les registres fournissent des renseignements de moins en moins abondants et de moins en moins fiables... sans même faire mention des pages manquantes ou de la détérioration due au temps, etc...


C'est pourquoi la consultation ponctuelle des registres n'est pas toujours payante. Les actes apparaissent en ordre chronologique, et la mention marginale des noms n'est apparue que dans la seconde moitié du XVIII ième siècle. Par ailleurs, il est impossible d'apprécier la fiabilité des renseignements, si l'on s'est contenté de lire quelques actes épars. Des actes manquent, soit de façon normale (un homme se mariait généralement dans la paroisse de sa future épouse), soit par oubli, omission, pages perdues... Si l'on n'a pas trouvé un mariage, et que l'on fasse l'effort d'en lire davantage, l'on a bien des chances de trouver des naissances issues dudit mariage... Une personne sur laquelle on n'a trouvé aucun acte, sera possiblement citée comme témoin dans un acte au nom de quelqu'un d'autre...




2. Observations particulières sur les archives paroissiales d'Othis


2.1. Généralités :


Othis a toujours été une petite paroisse, sans doute l'une des plus petites du diocèse de Senlis. En 1750, on y dénombrait 50 feux (50 foyers fiscaux, dirions nous aujourd'hui), soit environ 250 habitants.



2.2. Les différents curés qui se sont succédés à la cure de Notre Dame d'Othis


vers 1600 ? (actes non signés)

HACQUART (1628 ou avant, jusque vers 1631)

Guy DUPUY (1631 - +avril 1652)

Charles DELANGLE (juin 1653 - +juin 1661) avec PEAN (vicaire)

BAILLOT (1662 - 1667)

LAURILLOUX (septembre 1667 - juillet 1681)

Antoine LE CARON (septembre 1681 - +27 décembre 1724)

Nicolas LE QUOY (mai 1725 - +30 juin 1753), avec Etienne MANTION vicaire

CRAMPON (janvier 1754 - février 1756)

Etienne MANTION (mars 1756 - +février 1780)

Pierre louis LEFEVRE (février 1780 - 1792 et possiblement au delà)

autres cléricaux, ayant souvent administré des baptèmes, mariages et sépultures à Othis :


Messire Cyprien DELAMARRE, Bachelier de Sorbonne, Docteur en Théologie, curé de Ver, ayant vécu très vieux (18 ième siècle);


Frêre Hilaire JUIN, birgittin, prieur de Saint Sulpice (au temps du ministère de Messire Antoine Le Caron)


les vicaires d'Eve (noms à retrouver)


[l'officiant normand du diocèse de Coutances, durant l'épidémie et la maladie du curé Lefebvre en 1787-88. Ce prêtre s'appelait également Lefèvre.]


Clercs paroissiaux : le dernier paraît avoir été élu officier municipal après 1792 : Claude Trumelet, ... Jean Drest, (à complèter)




2.3. Les seigneurs d' Othis :


Messire Thimoléon LE ROY et Dame Catherine BRIE (prononcer "Brillé") (vers 1650)

Messire Antoine De Marc, seigneur de Montcrépin vers 1650

Messire Lepelletier de Montmélian, seigneur de Beaupré, conseiller du roy en son cabinet (vers 1750)

(à complèter)


2.4. Le contenu des registres d'Othis : ...

Tous actes de baptèmes, mariages et sépultures ; quelques registres des messes, ainsi que des documents comptables concernant icelles... ; annotations faites par 'Denis de Senlis, archidiacre de Monseigneur de Senlis et son premier vicaire' ; un acte civil de déclaration de grossesse, recopié par le curé avant baptème de l'enfant... ; le récit de l'affaire du curé Crampon... ; le récit d'une sombre affaire d'une femme délaissée par son amant, qui s'en est allée se plaindre à l'évêque, lequel imposa un mariage... ; plusieurs listes de confirmés (enfants, mais aussi quelques rares adultes) ; la recopie de l'inscription en latin sous l'autel, relevée par Guy DUPUY ou par BAILLOT avant d'entreprendre des travaux, et datant sans doute de la construction de l'Eglise.


2.4.1. Les années déclarées manquantes...

et les autres manques probables... Les cycles avec des mois comportant sytématiquement des actes nettement moins nombreux, chaque année à l'époque où Le Caron allait se faire soigner à la maison diocésaine de Senlis...


2.5. Les remaniements et annotations qui ont été faits sur les archives paroissiales d'Othis :

par Baillot, par Mantion... Les actes recopiés à-postériori par le 'maistre d'escholle'. Les erreurs retrouvées dans l'Etat Civil (François Malaizé et Jean Nicolas Malaizé par exemple) et corrigées au cours du règne de Charles X...



3. La fiabilité d'un dépouillement d'archives paroissiales :


3.1. Généralités


L'on vient de voir que les registres, tenus par les curés, contenaient de fort nombreuses erreurs et omissions. L'on sait, par ailleurs, que le temps n'a pas arrangé les choses : pages ou fascicules perdus ou endommagés, souvent illisibles, ou encore, dont la lisibilité laisse place à plusieurs interprétations. Pour finir, une troisième source d'erreur s'ajoute encore aux précédentes ; elle est due au relevé et à la retranscription qui est faite de ces actes, le releveur étant susceptible d'avoir mal lu ou mal interprété certaines écritures anciennes, ou encore, mal recopié, oublié quelque chose, etc...


Pour conclure, il est réaliste d'affirmer que tout relevé d'actes est inévitablement truffé d'erreurs.


Pour autant, doit on considérer que ces documents sont inutiles ? Certes non... Bien au contraire, ces relevés sont très précieux, et nous allons voir comment gêrer au mieux l'incertitude, en apprécier l'amplitude dans chaque cas particulier, et surtout, comment accroître, autant que faire se peut, la fiabilité des résultats, par la multiplicité des informations et par les recoupements.


3.2. fiabilité du relevé des actes d'Othis


S'agissant plus particulièrement des relevés d'Othis, la première édition, diffusée à l'automne 2000, présente certains défauts de jeunesse que l'on s'efforcera de corriger pour la prochaine diffusion. Parmi les choses à revoir, l'auteur a particulièrement connaissance de ce qui suit :


a. Faire relire par une tierce personne les patronymes cités dans les actes antérieurs à 1640, tant il est vrai qu'en de nombreux cas l'interprétation qui en a été faite n'est pas toujours forcément la bonne. Corriger le cas échéant.


b. Relire tous les actes en s'attachant plus particulièrement aux noms de lieux, souvent négligés dans cette première version. Il eut fallu considérer chaque nom de lieu cité, en regard des cartes Cassini et autres documents disponibles sur les lieudits des environs d'Othis. Afin de ne pas trop retarder la parution de cette première version du dépouillement, l'on a préféré ne pas s'attarder sur ce point qui, pour intéressant soit il, n'a pas paru prioritaire à ce stade.


c. Tenir compte d'éventuelles observations qui nous auront été communiquées par les utilisateurs de ce document. Merci d'envoyer les remarques à l'adresse suivante :


bdebreil@teaser.fr ; Bernard DEBREIL, 2 rue Saint Joseph

78150 LE CHESNAY


Nous nous efforcerons de présenter une mise à jour courant 2002.



4. Méthodes


4.1. Méthodologies générales pour les dépouillements des BMS (Baptèmes Mariages et Sépultures)


La méthode le plus courante est la suivante : sans aucun état d'âme, et de façon tout à fait séquentielle, déchiffrer les actes et en recopier les noms et dates, sans se laisser influencer parce qu'on a pu lire dans les pages précédentes. L'on se contente de retranscrire les caractères qu'on lit. Si, par exemple, on lit : "Marie, fille de Jean Du Trongner et de Jehanne Deligny, fut baptisée le...", l'on écrira précisément ces noms là, même si, dans un précédent acte (une autre naissance du même couple, ou leur acte de mariage), l'on lisait alors Jean Destreignes et Jeanne Deligne, et même s'il est évident qu'il s'agit bien des mêmes personnes.


C'est la méthode la plus 'honnête', dit-on. Elle retranscrit, le plus fidèlement possible, ce qu'avait écrit l'auteur de l'acte. Cette méthode n'est pas sans présenter de sérieux inconvénients, surtout lors de la constitution d'une base de données ou d'un fichier généalogique. Toute remontée dans les générations d'une famille donnée, devient alors chose très difficile, et ce, surtout si l'on a l'intention d'utiliser des moyens informatiques. D'aucuns diront que c'est au chercheur, non au releveur, qu'il appartient de trouver les liens intergénérations, et que, pour ce faire, il a besoin de documents reproduisant aussi fidèlement que possible les originaux. Cette observation eût paru pertinente, si l'on eut pu toujours être assuré de convenablement interpréter ce que que le rédacteur de l'acte avait écrit, si tant est, également, qu'on ait pu être certain que ledit rédacteur ait convenablement perçu le nom de la personne à laquelle il administrait un sacrement. Dans la réalité, l'orthographe des noms varie grandement, et surtout lorsque le curé change. Par ailleurs, lorsque les actes faisaient l'objet d'une recopie (après 1665), l'on trouve encore des différences parfois notables, sans qu'il soit possible d'affirmer quelle est la version la plus proche de la "vérité", si tant est qu'il ait existé une vérité en matière d'interprétation orthographique des noms sous l'ancien régime.



4.2. Comment a été fait le dépouillement des registres paroissiaux et d'Etat Civil d'Othis ?


Nous avons donc opté pour une interprétation "réaliste" de l'orthographe des noms. Les saisies ont été faites à l'aide d'un logiciel de généalogie, nommé "Geneatique" (fait par le C.D.I.P.). Il convenait donc d'uniformiser les patronymes sur plusieurs générations. Nous nous sommes efforcés de choisir l'orthographe la plus récente, chaque fois que cela a été possible. "Geneatique" autorisant une deuxième nom patronymique, nous avons fréquemment fait usage de cette facilité, le premier nom, celui directement accessible par les fonctions de recherche, étant la forme la plus récente. Dans le cas de certaines familles, il faudrait avoir la possibilité de mettre bien plus que deux noms, parfois près d'une dizaine... Mais le lecteur pourra se consoler en sachant que, de toutes façons, l'accès aux actes originaux lui est facilité par la mise à disposition des cdrom des photos des actes, la référence auxdites photos figurant en face de chaque acte relevé.


La lecture des actes a donc été faite séquentiellement, à partir de 1680, et jusque vers 1792. De 1792 à 1873, nous nous sommes limités, à ce stade, à la lecture des tables décennales, les seuls actes postérieurs à 1792 qui soient complètement dépouillés étant ceux de la généalogie personnelle de l'auteur de ce document. Ceci fait, l'exploration a été reprise, à partir de 1680, en remontant le temps. Ceci nous a paru faciliter le travail en limitant les risques d'erreurs, car il est plus facile d'interpréter les patronymes lorsqu'on a acquis une bonne connaissance des familles de la paroisse.


5. Bibliographie et autres références


Une étude bibliographique exaustive paraît impossible... même une étude sérieuse serait longue et probablement fastidieuse... aussi nous contenterons nous de donner quelques références qui, elles mêmes, vous conduiront à d'autres... et ainsi de suite. La généalogie est une matière très vaste, et le généalogiste amateur aura souvent vocation à rapidement dépasser le stade de la stricte recherche de ses ancêtres. Lorsqu'on est passionné, ou même simplement intéressé, la généalogie est un "hobby" qui prend un temps considérable.


Voici donc les quelques références que nous vous proposons pour le départ :


En librairie :


- "La Généalogie", de Léo Jouniaux, éditions Artaud


- La Revue Française de Généalogie


Sur Internet :


- La FAQ (Foire Aux Questions) du forum internet "fr.rec.genealogie"

http://claire.b.free.fr/faq1frg.html ou

http://www.multimania.com/claireb/faq1frg.html


après lecture de la susdite FAQ, nous recommandons la fréquentation du forum "fr.rec.genealogie" (Usenet Newsgroups...)


Pour l'aide aux recherches, nous recommandons


FranceGenWeb (il s'agit d'une association généalogique sur Internet) qui vous proposera divers services régionaux, adresses d'associations, cousinages, traductions, et plus encore


http://francegenweb.org


et


Geneanet (Société commerciale dont les prestations sont totalement gratuites)


http://geneanet.org


Ces pages vous conduiront sans doute à bien des découvertes.


Pour finir, nous ne saurions assez recommander l'adhésion à un Cercle Généalogique. Deux Cercles sont concernés par la région d'Othis :


Le Cercle Généalogique de Seine et Marne


Le Cercle Généalogique de la Brie


Pour ceux dont les recherches se situent dans des régions différentes, il est généralement recommandé d'adhérer au cercle le plus proche de son domicile, sachant que la plupart des cercles sont abonnés aux revues éditées par les autres associations.