Jean Cantet, laboureur, veuf de feue Marie Mullot, au nom et comme père et loyal administrateur de Jacques et Marie Cantet ses enfants mineurs et de ladite feue, demeurant à la Toupelière, et Mathurin Cantet aussi laboureur, veuf et donataire de feue Renée Mullot, demeurant à la Bougrie, les deux paroisse de Secondigny, et Marie Lusset, veufve et commune de feu Louis Mullot, tant en son nom de commune que mère et tutrice de leurs enfants mineurs et dudit feu, demeurant à la Chatupière, paroisse de Fenioux d'une part ;

François Bon, serviteur domestique, fils majeur de feu Jean Bon et de Jeanne Gellin, et ayant renoncé à la communauté conjugale que ladite Gellin avait contracté avec ledit feu Jean Bon, pour s'en tenir aux derniers (Doteaux ?) de ladite feue Gellin et au remploi du bien fond de ladite feue........... demeurant au château du Pont, paroisse des Grozeilliers d'autre part ;

Lesquels dits Cantet frêres et ladite Lusset ont ce jour d'huy reconnu avoir eu et reçu en la présence et vue de nous notaires soussignés, dudit Bon, chacun la somme de vingt six livres treize sols quatre deniers que ledit feu Bon leur devait, par acte reçu sous ladite cour cy-dessus, le 28 mars mil sept cent soixante sept ....

Signature: Mathurin Cantet

[le clerc du notaire paraît s'être trompé de date dans l'acte: c'est bien 1780, et non 1779 comme noté. La date du contrôle par Alizart concorde également]